Les 5 questions que l’on pose le plus souvent à une médium

Un peu de « fun » aujourd’hui, j’aimerais répondre aux 5 questions que l’on me pose le plus souvent, en tant que médium.
Mais avant ça, j’aimerais vous rappeler ma conception de la médiumnité. Car il est assez facile de faire des amalgames, lorsque l’on ne connait pas. Comme tout terme généralisant, il faut garder en tête qu’il reste un moyen d’identifier un type de faculté ou d’activité. Mais ne représente en rien le caractère singulier de chaque personne ou professionnel.

La médiumnité est selon moi un terme assez juste, car par « médium » il fait référence au « milieu ». Un médium est effectivement une personne ayant développé la faculté de communiquer, de faire un lien entre les mondes, entres les dimensions. Une personne médium saura contacter différents êtres, ou se connecter à d’autres essences invisibles. Cependant, tous les médiums ne sont pas connectés aux mêmes dimensions. Certains contacteront des humain désincarnés, d’autres des strates plus élevées en fréquence comme la dimension des guides, ou encore des êtres de la nature, … Bref, le médium entre en contact avec des êtres issus de notre vaste Univers. Ces connexions vont se développer selon les affinités énergétiques de la personne et de l’essence connectée. Ces caractéristiques dépendent de beaucoup de choses.

Mais venons en aux questions !

 

1ère question : Depuis quand sais-tu que tu es médium ?

Je le sais depuis mes 7 ou 8 ans environ. Cela se manifestait par des sensations étranges, des images mentales, et des angoisses incontrôlables. Je pensais faire des crises d’angoisse, ou avoir des peurs infondées. Jusqu’à ce que mes ressentis se confirment sur plusieurs aspects.

Ma première expérience traumatisante fut ma première terreur nocturne. S’en sont suivies de nombreuses visites d’entités, et des expériences assez étranges. La confirmation est venue un jour où, lorsque je discutais avec ma mère, je lui ai fait part de mes ressentis concernant la maison de mon arrière grand-mère. J’y avais des peurs, et j’y voyais des personnes aux caractéristiques particulières. Ma mère a reconnu ces personnes par ces descriptions, car elles avaient fait partie de son entourage lorsqu’elle était enfant et jeune adulte. Nous n’avions jamais abordé ce sujet, donc je ne pouvais pas reconstituer une histoire d’après des faits connus. Ma mère, bluffée par les détails, a compris ce jour là qu’il y avait quelque chose d’inexplicable, mais de réel, qui s’éveillait en moi.

 

2ème question : Mais, les esprits, tu les vois comment ? Avec tes yeux ?

 

En fait, non. Certains voient les entités avec leurs yeux physiques. Pour ma part c’est une vision de l’esprit.

Pour essayer d’imager les choses, c’est semblable à un écran secondaire dans ma tête, qui me permet de voir, de manière imagée (voir symbolique parfois), les entités ou énergies. Cela ressemble aux images pensées que nous avons au quotidien, lors de nos conversations intérieures. Mais ces images ne sont pas contrôlées. Aujourd’hui, ma vision de l’esprit est encore plus développée qu’avant. Mais je ne contacte quasiment plus les entités humaines. Je contacte plus fréquemment les êtres de la nature et les guides spirituels (entre autres). C’est un choix personnel, car je ne suis pas en très à l’aise, avec les entités humaines. Même s’il m’arrive encore d’avoir quelques contacts ponctuels.

 

3ème question : Est-ce que ça te fatigue de contacter des esprits ou êtres invisibles ?

 

Non ça ne me fatigue pas si ce n’est pas pour une séance. Le plus fatiguant reste le travail sur les personnes que je soigne. Car cela demande beaucoup de concentration, une grande minutie, et une attention de chaque seconde. Le contact avec des invisibles reste assez « naturel » en général. Si la communication ne passe pas, c’est que nos fréquences ne s’accordent pas. Dans ce cas, je ne force pas le contact. Communiquer avec les invisibles, soigner des personnes, demande une grande maitrise. Car il est très dangereux d’absorber en soi, ces énergies extérieures. Je ne soigne pas pour me rendre malade. Je soigne parce que je sais comment me préserver. Le syndrome du sauveur fait de gros dégâts, car il pousse beaucoup de médium à proposer leurs services avant même d’avoir compris certains mécanismes de base.

 

4ème question : Mais du coup, tu vois l’avenir ?


Je pourrais le faire si je développais cette faculté. Pour le moment je me contente de ressentis concernant MON avenir proche. Simplement, je ne veux pas savoir ce qui m’attend. Pourquoi ? Car je me concentre sur mon présent. Je considère que ce que je fais aujourd’hui, va donner ce que j’attends de demain. Même si, entre nous, l’Univers est bien plus imaginatif que nous, en ce qui concerne notre « demain » ! Donc je fais des demandes, en ayant la conscience que le potentiel universel est illimité. Et comme j’aime les surprises … Je me laisse surprendre par la vie ! Pour info, je ne fais pas de voyance, ni n’aborde votre avenir en séance de soin. Un travail peut être fait en faveur d’un désir particulier. Mais tout ce qui sera fait, se concentrera sur des mises en place dans le présent, ou des nettoyages de type karmique.

 

5ème question : Mais comment fais-tu pour ne pas avoir peur ? Moi ça me terrifie tout ça !

 

La peur est issue de l’inconnu, et de la perception d’un potentiel danger réel, ou à venir. C’est une réaction en chaine qui stimule notre amygdale, par association de stimuli que le cerveau a intégré, comme étant des signes de danger (son, odeur, situation, lieu, …). Si ce phénomène de peur est issu d’un trauma ou de croyances du caractère dangereux de la situation, vous aurez peur.
Au début de ma vie, la médiumnité était synonyme de terreurs nocturnes, et de boule d’angoisse à chaque lieu visité. Mais surtout, cela était synonyme de peur d’un danger invisible et inexplicable ! Alors oui, à cette époque, j’avais peur.
Aujourd’hui, je comprends ces mécanismes, je sais avec qui je connecte. Mais je sais surtout que je ne peux rien subir, car j’ai acquis la maitrise. Alors non, dans 90% des cas, je n’ai pas peur, car je ne considère plus l’invisible comme étant un danger invisible et inexplicable. Surtout car je ne me considère pas comme étant différente de toutes ces énergies avec qui je crée des connexions. Elles sont moi, je suis elles. L’Univers est un. Il me suffit alors d’écouter, de ressentir, pour comprendre. Ce qui n’est pas extérieur à moi-même, m’est semblable. Donc je peux le maitriser, je peux l’apaiser, ou je peux l’éloigner. Le travail ou l’interaction avec l’invisible ne diffère pas vraiment des conversations entre humains. Parfois, elles seront houleuses, parfois elles seront tendres. Mais dans tous les cas, c’est la bienveillance qui mènera la danse dans le respect de chacun des interlocuteurs.

 

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Léa 🍀

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